Pour l’heure, Donald Trump garde encore le sourire car il n’a pas manqué de rappeler que ces accusations portent sur une période qui précède sa campagne présidentielle. A côté de cela, il semble que les dirigeants de la Silicon Valley veuillent aussi dégommer ce président qu’ils ne portent pas dans leur cœur. Pour preuve, Twitter, Facebook et Google ont admis que des publicités politiques avaient été achetées par des entités russes et diffusées pendant la campagne. Les mêmes sociétés ont déclaré que plusieurs centaines de sites d’origine russe ont profité de cette campagne pour diffuser de fausses informations. Bref, les attaques sont graves car elles rendent plausibles la volonté d’un pays étranger de semer la zizanie au sein de la première démocratie du monde. Pour les investisseurs, ces nouvelles ne sont pas nécessairement bonnes, car elles pourraient retarder ou annihiler certaines réformes économiques du président Trump. Affaire à suivre, comme dans les feuilletons.
