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Pour tenter de cerner les défis des prochains mois, Pimco s’est adjoint l’aide de plusieurs experts de renommée internationale dont Ben Bernanke, l’ancien président de la FED (Banque centrale américaine) et Richard Thaler, prix Nobel d’économie 2017. |
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Résultat ? Les recommandations de ces experts sont assez conformes à ce qu’on peut déjà lire ici ou là. La croissance mondiale se maintiendra même si elle sera en mode ralentissement. Le soutien des banques centrales diminue et le risque politique assombrit le paysage. La probabilité d’une récession à un horizon de 12 mois a augmenté à 30 % selon les calculs de Pimco. Et quant à la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine, elle restera une source de volatilité. |
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Dans ce contexte d’incertitudes, Pimco se démarque des autres gérants qui mettent l’accent sur les actifs illiquides (immobilier, private equity, …) pour aller chercher du rendement. À l’inverse, les gérants de Pimco se concentrent sur les actifs liquides (actions, obligations) ce qui leur permettra de répondre « soit à des opportunités spécifiques, soit à un élargissement des écarts de taux d’intérêt, soit à une hausse de la volatilité ». |
