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Mais comme par hasard, lorsque la Bourse plonge, Donald Trump n’en parle plus ou alors cherche un bouc émissaire (le président de la Banque centrale américaine) pour expliquer sa mauvaise performance. |
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Les Chinois ont remarqué ce manège et s’en servent aujourd’hui pour influencer les négociations. L’éditorialiste du Global Times, un quotidien proche du parti communiste chinois explique que les États-Unis sont soumis à une immense pression pour mettre fin à la guerre commerciale entre ces deux grandes puissances. |
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L’éditorialiste indique qu’en cas de non accord – en principe pour le 1er mars prochain – les conséquences seraient dévastatrices pour les marchés financiers mondiaux. Et ce quotidien proche du gouvernement chinois ajoute même que les négociateurs américains sont ceux qui ont le plus de pression. |
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Mais bon, il s’agit là d’une version « officielle » qu’il faut regarder comme une pression psychologique et médiatique. Les experts rappellent aussi que la Chine fait face à un ralentissement notable de sa croissance. Bref, la pression existe aussi côté chinois malgré la propagande du Global Times. |
