Mais d’autres facteurs ont également joué leur rôle, parmi lesquels :
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- La croissance en Chine et en zone euro montre des signes d’essoufflement depuis quelques mois déjà.
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- Si l’on excepte le pétrole, le cours des matières premières est orienté à la baisse, faisant douter de la solidité de la croissance mondiale.
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- Les prévisions de croissance du FMI sont à la baisse pour 2019 et les économistes de cette institution n’écartent pas l’éclatement d’une nouvelle crise, sans même parler des « entreprises zombies » qui ne survivent que grâce à un loyer de l’argent très faible.
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- Les pays émergents souffrent à la fois de la hausse des taux américains et de la hausse du billet vert.
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- L’Italie souffle le chaud et le froid auprès des investisseurs avec son budget non orthodoxe.
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Bref, l’accumulation de mauvaises nouvelles a servi de détonateur à la purge boursière de la semaine dernière. Pour nombre d’investisseurs, la question n’était pas de savoir si cette purge devait avoir lieu, mais quand ? Mais reste à voir si la purge est terminée ou pas.
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