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Si c’est le cas, ce serait la première fois depuis 9 ans que l’indice S&P 500 pourrait rompre avec sa bonne habitude d’afficher un 4ème trimestre gagnant en Bourse. Pour David Kostin, le coupable désigné n’est pas Trump, ni la Chine mais les élections de mi-mandat aux Etats-Unis. David Kostin a observé qu’en moyenne l’indice S&P 500 grimpait de 8 % au 4ème trimestre durant les années de mi-mandat. |
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Mais il pense que cette année, ces élections américaines se traduiront par une plus grande incertitude si les Républicains devaient perdre la majorité au Sénat ou à la Chambre des représentants. Traduction : la hausse des 8% risque de ne pas se répéter. |
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D’autres stratégistes comme Michael Wilson de Morgan Stanley sont plus terre à terre et pensent que le « rallye » de fin d’année n’aura pas lieu. La réduction des liquidités, les inquiétudes sur la pérennité de la croissance américaine et la frilosité des investisseurs sont autant d’éléments contrariants pour une hausse des marchés. Comme toujours, face à pareils scénarios, le mieux est d’en parler avec votre banquier privé. |
