Le retour de la volatilité n’est pas nécessairement un drame

Mais avec la remontée du loyer de l’argent aux États-Unis, la visibilité des investisseurs s’est dégradée ces derniers mois et a cédé la place à davantage de volatilité sur les marchés.

De plus, comme la valorisation des actions reste encore élevée, toute mauvaise nouvelle provoque rapidement une correction. L’action Facebook en est l’exemple type.

Mais pour d’autres analystes, le retour de la volatilité n’est pas nécessairement un drame. Mieux encore, elle va forcer les investisseurs à faire preuve de davantage de sélectivité.

Les uns préconisent, par exemple, d’éviter les obligations d’État, fortement exposées à la hausse des taux. D’autres préconisent de se méfier des marchés émergents.

Et puis d’autres encore, mettent la focale sur les sociétés ayant un bilan sain, peu de dettes et une bonne trésorerie.

Bref, l’idée serait de choisir des sociétés dont les fondamentaux ne dépendent pas de l’évolution des marchés à court terme.

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